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Une équipe de champions

Eh voilà, le 6e chapitre. Nous sommes désolée du retard pour ce chapitre mais cette fic est écrite au fur et à mesure et en fonction de nos idées qui n’étaient pas vraiment au rendez-vous alors on a un peu attendu avant d’avoir une idée géniale car autant écrite quelque chose de bien sinon vaut mieux écrire rien du tout. Bon eh puis, là, on part en vacances en laissant juste le début du chapitre qui saura en deux parties pour pas vous faire attendre trop longtemps car c’est chiant. Ce chapitre est écrit par nous deux le début est de Virginie et la fin de Laure. Voilà, alors à la prochaine et bonne lecture !

ET surtout merci pour les reviews, vous êtes géniaux avec nous !

Chapitre 6 :

-          Alex, tu peux aller chercher du bois, le feu va bientôt s’éteindre, demanda Andy à son frère, voyant les crépitements du feu diminuer en même temps que la faible lumière que leur petit feu leur procurait.

-          Non, j’ai pas envie ! c’est toujours moi qui doit y’aller, c’est pas juste ! se plaignit t-il.

-          Allez, fais pas ton gamin ! Tu as 17 ans, plus 8 !

-          Très bien, concéda t-il en se levant, retirant ses bras qui entouraient une Amandine qui se pelotonnait contre lui, bercée par tous ses souvenirs que leur soirée réveillait.

Mais vous m’attendez pour raconter la suite, d’accord ? ajouta t-il en s’éloignant ?

-          Promis, répondit Andy, suivant son frère du regard. Elle le vit s’éloigner et s’enfoncer dans l’obscurité, puis réapparaître quelques secondes plus tard les bras chargés de petits bouts de bois ramassés un peu plus tôt.

-          Alors, qu’est ce que j’ai manqué ? plaisanta t-il en s’asseyant de nouveau.

-          Ta sœur a vu un gros méchant loup ! se moqua Benji.

-          Te moques pas, c’est pas drôle ! se défendit Andy, pourtant blottie contre lui, tenant ses bras autours d’elle de peur qu’il ne s’éloigne. J’ai vu des yeux jaunes…

-          Oh, ce doit être un ours, c’est tout ! Y’en a plein qui traînent dans le coin.

-          Quoi ! ? ! s’écria Andy, se calmant aussitôt en voyant ses amis exploser de rire.

-          Bon allez, tu nous racontes encore une fois comment s’est passée la finale ? demanda Amandine, en attirant son copain contre elle. N’empêche, j’arrive toujours pas à croire que vous …

-          …Comme quoi on était pas tout à fait prêt ! l’interrompit Alex. On a appris de nos erreurs c’est pour ça que les années consécutives nous ont été favorables ! Mais bon, tu la veux ta suite ou pas ?

-          Oui, vas-y…

-          Très bien, alors voilà…

 

Flash-Back…

 

Alex descendit les escalier doucement, l’air ailleurs, comme si quelque chose le tracassait, ce que vit aussitôt son père.

-          Qu’est ce qu’il se passe Alex ? demanda Olivier. Ca n’a pas l’air d’aller ?

-          Si, tout va bien, je t’assure, mentit t-il.

-          Alex… je te connais par cœur ! Aujourd’hui, c’est un grand jour ! C’est la finale, tu devrais être tout excité ! Alors dis moi ce qui ne va pas…

-          Tout va bien, c’est juste que… je le sens pas trop ce match. Et si jamais on perdait ?

-          Tout va bien se passer. Vous êtes les meilleurs ! Vous avez fait un super parcours, et c’est pas maintenant qu’il faut douter ! Vous avez d’excellents joueurs et possédez une technique imbattable, vous allez gagner, ne t’inquiète pas !

-          Merci papa, lança Alex, un peu plus rassuré.

 

Deux heures plus tard, tout le monde étaient réunis au stade, et le coups d’envoi allait être sifflé d’une seconde à l’autre.

Alex eut juste le temps de jeter un œil à son père qui l’encouragea d’un signe de tête et le match débuta. D’emblée, il s’annonçait difficile. Les joueurs de la Muppet possédaient un jeu hors pair, d’une précision incroyable. En deux minutes, Alex se fit prendre le ballon sans rien voir venir et le temps de s’en rendre compte, l’attaquant s’approchait dangereusement de la cage de Benji.

-          Benji, attention ! s’écria t-il en se dirigeant à son tour vers les buts.

-          T’inquiète, il passera pas.

 

Le joueur se rapprochait toujours des buts et après avoir dribblé les derniers défenseurs, il ralenti sa course, visa, et shoota en direction des buts, en même temps que Benji plongeait pour l’arrêter, ce qu’il parvient de justesse.

-          On a eu chaud, mais ça va aller ! lança Tommy à Alex en arrivant à sa hauteur.

Allez, c’est pas grave, on a eu de la chance sur ce coup, mais il va falloir faire très attention maintenant.

Pendant le court instant où ils parlaient, ils n’avaient pas vu le joueur de l’équipe adverse qui les doubla et rattrapa au vol la balle que Benji avait destiné à Alex. Il s’empara du ballon et si dirigea vers les buts. Pris par surprise, Benji n’eut pas eu le temps de plonger pour arrêter le tir et ? marqua.

-          1-0 pour ?, lança la voix tonitruante du commentateur.

-          Je l’avais dit que je le sentais pas ce match, siffla Alex en se dirigeant vers le rond central pour réceptionner la balle de Benji.

 

Il récupéra la balle, mais pendant la demi-heure qui suivi, ni lui ni tommy se réussirent à s’infiltrer jusqu’aux buts, ce qui l’énerva d’autant plus. Ils ne parvenaient qu’à faire quelques jeu de passes et avaient du mal à garder la balle.

-          Les gars, vous vous occupez de marquer chaque joueur, et avec Alex, on va essayait de passer à travers la défense, et quand on arrivera dans la zone de réparation, Mathieu je t’envoie la balle comme l’autre fois, et tu nous la renvois ! Il nous reste 10 minutes avant la mi-temps, et il faut absolument égaliser, d’accord ? dirigea Tommy pour la première fois.

 

Tous acquiescèrent et chacun retourna à son poste. Comme convenu mais avec un peu plus de mal, il parvinrent à dribbler les derniers défenseurs, se passant la balle tantôt de côté, tantôt par derrière, tantôt l’un taclant l’autre pour déstabiliser l’équipe adverse.

Finalement,  ils arrivèrent dans la zone de réparation, Alex acquiesça de la tête et Tommy passa la balle à Mathieu qui la garda quelques minutes leur laissant le temps de se diriger vers les corners puis de revenir vers un point qui leur semblait fixe. Il repassa la balle et ils la rattrapèrent de volée, comme durant l’entraînement et les autres matchs. DE toutes leurs force, ils shootèrent en même temps et, même en voyant le coup se faire, le gardien ne put rien faire. Alex et Tommy sautèrent de joie quand ils virent le ballon au fond du filet, puis retomber nonchalant sur la pelouse, devant les yeux ébahis du gardien.

-          Egalisation de la New Team quelques minutes à peine avant la mi-temps ! Très beau but du duo désormais célèbres, Atton et Calahan, de vrais champions, et c’est sans contexte le jeu  d’Olivier Atton et de Philip Calahan que l’on redécouvre avec tant de plaisir dans ce match qui promets d’être passionnant. 1 partout et le match reprend.

 

Après un dernier regard vers son père, Alex sourit et se replaça. Quelques minutes plus tard, il attrapa au vol le ballon destiné au n°10 de l’équipe adverse et reparti en direction opposée. S’il se dépêchait, il pourrait encore marquer un but avant le coup de sifflet. Il regarda autours de lui et il Tommy qui le suivait de près et un défenseurs qui s’avançait à sa rencontre. Soudain, en autre défenseur qu’il n’avait pas remarqué vînt le surprendre et lui bloquer le passage. Il le contourna et dévia un peu sa trajectoire mais le joueur le suivait de près et le tacla au moment où il s’apprêtait à passer la balle à Tommy. La surprise et la douleur lui arrachèrent un cri de douleur et il perdit l’équilibre, s’étalant de tout son long. Il resta quelques secondes à terre, secondes durant lesquelles tout le monde retenait son souffle de voir leur meilleur joueur à terre, mais avec une grimace il se remit debout. Il tituba légèrement et s’effondra de nouveau, tenant sa cheville qui le faisait souffrir et qu’il sentait blessée et dont du sang coulait de sa blessure.

-          Alexis ! s’écria Andy en voyant son frère toujours au sol.

Elle descendit rapidement les escaliers et se dirigea vers le terrain, mais à peine arrivée près du banc de touche que son père la saisit par les épaules.

-          Restes-la ! lui ordonna t-il gentiment.

-          Mais papa ! protesta t-elle. Il est blessé ! Je veux aller le voir !

-          Laisses faire les secours ! Il vont s’occuper de lui et tu pourra aller le voir quand ça ira un peu mieux.

Après un dernier regard hésitant vers son frère, elle concéda et alla s’asseoir sur le banc, pendant que Ben allait voir de lui même comment il allait.

 

Quelques instants plus tard, un coup de sifflet indiqua que le match avait reprit, et un joueur remplaçant de la New Team entra sur le terrain. Alex, bien que protestant, avait été conduit à l’infirmerie pour sa blessure.

Toute l’équipe était déstabilisée, ce qui facilitait le jeu à la Muppet. L’équipe n’avait jamais jouer sans Alex, et même si Clément était un bon joueur, il n’avait participé à aucun des matchs et donc ne maîtrisait pas toute leurs techniques. Par ailleurs, le plus perdu était Tommy ! Il n’était efficace qu’avec la présence de son ami, il le savait. Lui seul le considérait comme un joueur hors peur, d’égal à égal, malgré son jeune âge. Sans Alex, sans son ami, et sans son coéquipier, il ne pourrait pas marquer les buts dont ils avaient tant besoin.

L’équipe avait perdu son meilleur joueur, et il ne reviendrait probablement pas avant la fin du match.

-          Allez les gars ! tenta Tommy pour remotiver ses amis. Alex est blessé, mais c’est le moment ou jamais de lui prouver qu’on peut se débrouiller sans lui ! L’équipe se constitue de 11 joueurs, pas d’un seul ! C’est l’équipe qui a gagné tous ces matchs, et c’est l’équipe qui gagnera celui là aussi !

-          Il a raison ! s’écria un de ses coéquipiers. On va gagner, pour Alex. Allez, on y va et on va leur montrer de qui la New Team est capable ! On est les meilleurs, et on va le rester.

 

Sur cet encouragement, l’équipe se dispersa sur le terrain, chacun à son poste.

La balle leur fut donnée à la suite d’une faute, et Tommy parti en attaque d’emblée. A peine avoir franchi le rond centrale qu’il se fit prendre le ballon. Il ne vit même pas le joueur et continua à courir quelques secondes. Il s’arrêta cependant voyant toute son équipe faire demi-tour. iL reparti en sens inverse et parvint à récupérer le ballon, sans le perdre cette fois. Il se dirigea vers les buts, passa les différents attaquants et arrêta sa course. Il cadra son tir et shoota, mais les quelques secondes qu’il perdit à ajuster son tir permirent au gardien de se positionner et d’arrêter son tir sans aucune difficulté.

Benji regarda son ami puis dévia son regard vers les tribunes. Son père était toujours présent, à chaque match. Chaque minute, chaque arrêt faisait naître des souvenirs et il ne s’en lassait pas. Il regarda ensuite son entraîneur, mais la surprise se lut dans ses yeux quand il croisa un visage qu’il ne reconnut que trop bien. « Mais qu’est ce qu’elle fait là ? » se demanda t-il avec inquiétude.

Cela faisait un an qu’il ne l’avait pas vu, et elle avait toujours détesté le football, le rendant responsable du fossé qui se creusait jour après jour entre son père et elle, et qui avait ruiné leur mariage. Elle avait toujours eu peur que ce sport ne l’éloigne également de son fils, et se peurs s’étaient révélées exactes quand il décida de partir avec son père pour le Brésil.

Il relança la balle à un attaquant bien placé, et Tommy reparti, un peu déçu. Le joueur commença sa course mais il se fit aussitôt tacler et le ballon fut renvoyé à Tommy. Il dribbla mais perdit de nouveau la balle. Toute les joueurs de la Muppet se dirigèrent vers les buts de Benji. La balle passa d’un joueur à l’autre sans qu’aucun défenseur ne put la récupérer. Un des joueurs passa la balle au n°5 placé face au buts et il tira avec toute sa force. Benji, encore déstabilisé par la présence de sa mère,  n’eut à peine le temps de plonger que la balle était déjà au fond des filets.

-          But ! La Muppet a marqué un second bu et mène à présent par 2 à 1 face à la New Team, déjà affaibli par l’absence de leur meilleur attaquant.

Et c’est sur le score de 2 à 1 que se termine cette première mi-temps.

 

Benji lança un regard désolé à Tommy, qui essayait tant bien que mal de dissimuler sa déception. Benji jeta un nouveau regard à sa mère qui lui accorda un sourire crispé.

Tout les joueurs se rassemblèrent et ensemble, rentrèrent dans les vestiaires.

-          Benjamin, attends, l’interpella une voix qu’il avait presque oubliée depuis un an.

-          Je suis pressé répondit le jeune homme sans prendre la peine de se retourner.

-          Ben, juste deux minutes supplia t-elle.

Il s’arrêta dos à cette femme.

-          Tu as beaucoup grandi, j’ai failli pas te reconnaître commença sa mère.

-          C’est normal, tu crois pas ? En 1 an, il s’en passe des choses.

-          Je suis désolé mon chéri. Si je suis là….

-          C’était sur que tu n’étais pas venu juste pour prendre de mes nouvelles, maman. Tu ne te réoccupes plus de moi depuis bien longtemps.

-          Arrêtes ordonna t-elle sèchement. Je t’interdis de penser ça.

-          Tu n’as plus à m’interdire quoique ce soit depuis que tu m’as plus donner signe de vie, à ton propre fils.

-          Benjamin, j’aimerai que tu rentres avec moi chez nous. … en Allemagne murmura t-elle.

Il resta là interdit face à cette soudaine révélation. Tant de fois, il avait voulu revoir sa mère, tant de fois, il avait pleuré son absence, tant de fois il avait maudit sa conduite et là, elle était revenu pour lui. Rien que pour lui, pour le revoir, pour s’excuser, pour l’aimer à nouveau. Il la haïssait en même temps qu’il l’aimait. Il était heureux et malheureux de cette retrouvaille.

Il se souvint de la dernière fois qu’il l’avait revu. C’était pour lui demander de partir vivre avec elle et son nouveau mari  . Sa mère a rencontré un homme et s’est remarié peut-être deux mois plus tard, et ça son fils ne l’a pas accepté car ce beau-père voulait à tout prix remplacé son véritable père. Et de plus, il agissait avec lui comme son propre fils et l’a obligé a arrêté le foot car ses notes étaient en baisse c’est à la suite de ça qu’il est parti vivre avec son père car ses parents habités dans le même pâtée de maison à l’époque puis environ deux mois plus tard, son père a décidé de déménager au Japon et lui l’avait suivi malgré la volonté de sa mère qui s’opposé à son départ et qui s’était disputé fortement avec son ex-mari. Mais Tom avait quand même emmener son fils avec lui et depuis il n’avait reçu que quelques lettres de sa mère mais jamais il n’avait voulu répondre car il lui en voulait . ET aujourd’hui, elle était là devant lui et lui, il voulait la haïr mais il ne le pouvait pas.

-          Benji, dépêches-toi, Ben veux-nous parler ? hurla Andrew un de ses coéquipiers.

Il jeta un dernier regard en direction de sa mère puis partit en petite foulées en direction des vestiaires.

 

Amandine , Andy et Olivier se tenait devant l’infirmerie. L’inquiétude se lisait sur chacun de ses visages et tous savait pourquoi : Alexis.

A l’intérieur, le médecin examinait toujours le jeune footballeur et sa blessure, ce qui n’était pas un bon présage.

-          Il ne sentait pas ce match, papa pleura Andy.

-          Eh, c’est pas une p’tite blessure qui va arrêté son frère, c’est certain. C’est un Atton ! répondit Olivier en consolant sa cadette.

Amandine , elle fixait la porte silencieuse, pourtant elle aussi inquiète.

Le médecin ouvrit la porte et regarda les 3 personnes leur faisant signe d’entrée.

-          Docteur, il pourra rejouer s’empressa de demander Amandine qui n’avait pas ouvert la bouche depuis qu’il était sorti du terrain.

-          Je suis désolé mais Alexis s’est pris un mauvais coup au tibia et je ne lui recommanderai pas de jouer la fin de la partie.

-          C’est la finale, je peux pas rester ici alors que mes amis se battent pour la coupe murmura Alexis un peu sonné par la dose de médicaments que lui a prescrit le docteur.

-          Tu n’es pas en état de marcher Alex s’écria sa sœur totalement affolé. Papa dis-lui quelque chose !

Mais comment pouvait-il interdire une chose à son fils qu’il avait avant lui. Lui aussi avait sacrifié sa jambe et son épaule pour une victoire. Mais cependant, aujourd’hui il le regrettait un peu car son épaule ne s’était pas totalement rétabli et parfois après un dure effort, la douleur se réveillait malgré les soins qu’il avait eu. Mais Alexis était son fils et son devoir de père n’était-il pas de l’aider à prendre les meilleurs décisions.

-          Papa, interdit-lui. répliqua encore Andy.

-          Mais l’équipe passe d’abord .Sans moi, il n’y a aucun butteur et il n’ont plus leur capitaine. Puis Tommy n’aura aucune marque expliqua Alexis en se levant péniblement.

-          Il se débrouillera, le match n’est pas important Alex ! dit Amandine d’une voix toute douce.

Alexis posa un pied à terre puis le second mais il s’écroula aussitôt sur le sol. Amandine s’approcha de lui et l’aida à le relever sous l’œil protecteur d’Olivier. Il s’appuya sur son épaule et lui sourit.

-          On y va s’il te plait demanda t-il gentiment.

Olivier ne savait pas comment réagir face au délicats de la situation car son fils désirait jouer et lui avait promis à sa femme de faire le nécessaire pour que sa santé passe avant tout. Mais sa mère l’avait laissé faire ce choix tout seul sans rien faire d’autre que le soutenir même si à l’époque cette situation était moins périlleuse. Non, il ne devait pas jouer avec la santé de son fils, il n’avait pas le droit. C’était indigne d’un père, indigne de lui !

-          Alexis, tu ne tiens même pas debout murmura Olivier.

-          Papa, pas toi !

-          Je suis désolé mais la fin du match, tu la passeras sur le  banc de touches.

-          Mais il ont besoin de moi se plait-il.

-          Peut-être mais tu ne leur sera d’aucune utilité dans cette situation. Tu dois avoir confiance en tes partenaires, c’est tout.

Alexis partit soutenu par Amandine d’un côté et sa sœur de l’autre résigné. Il était condamné à passer la 2e mi-temps sur le banc des remplaçants. Mais on père avait raison comme toujours que ferait-il sur un terrain alors qu’il était incapable de marcher. Il entra sur le terrain quand Ben faisait un résultat de la situation plutôt déplorable étant donné que son équipe était menée par 2-1. l’équipe était totalement dérouté par première la blessure de le joueur clef et les buts encaissé par Benji qui ne s’en était jamais pris autant en un match. Quand ils virent entrer Alexis, leur visage s’illumina.

-          Nous sommes sauvé osa dire un défenseur qui se tut rapidement en voyant le jeune joueur soutenu par les 2 filles.

-          Alex s’exclama Tommy soulagé de revoir son ami aussi rapidement.

-          Où en ai le score ? demanda Alexis inquiet.

-          Ils en ont marqué un autre répondit Benjamin qui venait lui aussi d’arriver.

-          C’est pas grave, on va remonter tenta t-il de les encourager. Enfin, si vous voulez toujours la coupe, il va falloir vous batte, je compte sur vous. Pour la New Team !

-          Hip Hip Hip Hourra !!!!!!!!!!! hurlèrent les joueurs ensemble.

L’arbitre rappela tous les joueurs sur le terrain. Et c’est sur ces encouragements qu’Alexis regarda tous ses amis partirent le cœur déchiré de ne pas pouvoir être avec eux dans ce combat.

A suivre….

 

La New Team arrivera à remonter la pente ? réponses dans la prochaine partie nefin si les reviews sont débordé nos boites car on s’absente toutes les deux durant  les 15 prochains jours alors vous avez jusqu’au 31 pour faire déborder nos jolies boites informatique. Info : nos adresses sont Laure1604@aol.com et Virginie286@aol.com.

Bye

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