Fanfics
A qui oserai-je le dire?
Auteur: Shima
Genre : sérieux
toujours !!!!!
Dis clamer : les perso sont pas à moi et
tout le tintouin comme d’habitude ! Merki à ma tite Mandoline et ma
Katia qui me lisent et me suivent merci les deux plus belles au moins comme ça
je suis obligée de me forcer à écrire pour quelqu’un vu qu’on
m’encourage pas ouin !!! T_Tmerki a Kitanna également !!!
Chapitre 6 : Tu réalises ?
Cela faisait déjà
une semaine que je faisais souffrir l’arbre qui se dressait devant moi. Mes
tirs incessants commençaient à entamer sévèrement sa chaire. Mais je ne
m’arrêterais pas là ! Depuis que j’avais vu cette fille exécuter mon
raiser ball j’effectuais l’équivalent de son lancer de soft ball en tir
surpuissant ! Maki Akamine qu’elle s’appelle. Un sacré caractère sur
pattes, elle est un peu moi en fille si je puis m’exprimer ainsi ! Mais
à quoi je pense ! A une fille, et puis pourquoi ces palpitations ?
Serai-je amoureux ?
Un tigre amoureux,
je ris à ma propre bêtise allongé sur le sol les jambes en compote. C’était
comique mais peut-être vrai !
Mes camarades de
classe m’avaient ennuyées parce qu’elles disaient que si j’avais des
palpitations c’était parce que j’étais amoureuse. Moi, le garçon manqué,
amoureuse ? Cela virait à la fiction ! (elle ne croit pas si bien
dire ^^)
Je regardais à
nouveau sa photo que j’avais découpé du journal que j’avais stupidement
acheté juste parce qu’il était dedans. Et puis, même si j’étais
amoureuse comment un joueur de foot nationalement connu pourrait s’intéresser
à une pauvre fille comme moi, quelle idiote !
_Maki !
Je sursautai à
l’appel de mon nom et constatais que les autres filles étaient déjà sur le
terrain à m’attendre. Je repris confiance et décidai de mener mon équipe à
la victoire !
J’avais vaincu le
géant et j’étais devenu la foudre. Maintenant j’errais sur l’île
d’Okinawa, sous la pluie en me dirigeant vers le stade de foot. Je m’arrêtais
un instant me rappelant le match de soft ball de Akamine et me dirigeai vers le
stade. J’apercevais Akamine entrain de cribler le grillage de balles, je
souris quant je repensai qu’elle m’avait disputé car moi-même je m’entraînais
sur ce grillage !
Elle se retourna et
je constatai dans son regard de la rage mais surtout les larmes qui en
coulaient. Je regardais le panneau d’affichage des score et compris alors la
raison de son laissé allé. Elle avait perdu !
_Pourquoi n’es-tu
pas venu nous encourager ?
Je restai perplexe,
hébété par ces reproches.
_C’est pourtant
grâce à moi que tu as trouvé ton nouveau tir !
Elle se jeta sur ma
poitrine tête et poings en avant.
Je souris et dit :
_Oui, c’est
aujourd’hui et grâce à toi que je suis enfin parvenu à le maîtriser.
Elle laissa un
court silence et déclara la voix tremblante, presque misérable :
_Je suis folle de
rage…nous n’avons pas gagné. Pourtant je cours tous les matins malgré le
manque de sommeil et toute l’équipe s’est entraînée comme jamais pour ce
premier match.
Je comprenais sa
souffrance, ses doutes qui étaient autrefois les miens. Je mis ma main derrière
sa tête et dit :
_ Pleure !
Pleure tant que tu veux canalise la rage qui est en toi pour gagner ton prochain
match.
Elle fermi ses yeux
et se mit à pleurer à chaudes larmes faisant ressortir sous mes eux, dans mes
bras tout ce qu’elle avait accumulé et qu’elle n’avait gardé que trop
longtemps.
Moi habitué au
caractère dur de la jeune femme, je constatais sa faiblesse et quelque …
peu… la mienne !
Je me baladais en
ville avec des amies. Je rigolais avec ces filles qui étaient à la fois mes
amies et mes coéquipières. Nous entrâmes dans un magasin de nourriture et
boissons. Mon attention fut attirée par une canette de coca. Je m’approchais,
pris et repensai à la chaleur des bras de Hyuga quant il m’avait consolé.
J’avais apprécié et avais accepté à ce moment là mon affection toute
particulière pour le jeune homme. Je souris.
_Maki !
Je me retournais et
vis un monsieur aux airs de chimpanzé qui sentait l’alcool à plein nez.
_Que puis-je pour
vous ?
_Excuse-moi je suis
Kira l’ancien entraîneur de Kojiro. J’ai entendu par Sawada que tu étais
proche de Kojiro puisque tu étais l’inspiratrice de son nouveau tir.
_En effet !
_Eh, bien… sache
qu’il est à l’arrêt de bus de la plage en direction de Fujisawa, et il
part dans 7 minutes exactement.
Mon cœur sauta
dans ma poitrine. Dans la précipitation j’achetai la canette de coca et
partis en courant vers la plage. J’entendais derrière moi Kira crier :
_surpasse-toi il y
a 10 minutes en course à pied jusque la plage !
Oubliant de ne pas
secouer la canette je forçais l’allure.
J’arrivais à la
plage hors d’allène le bus venait juste de démarrer sous mes yeux. Je
repartis de plus belle criant avec le peu de souffle qu’il me restait le nom
de celui pour lequel mon cœur battait. Je constatai que le car ralentissait et
que quelqu’un en descendis. Je reconnu Hyuga. Je me dépêchais de le
rejoindre. Je m’arrêtais proche de lui à court de souffle.
_Idiote, tu as beau
être rapide à la course, tu ne pourras jamais rattraper un bus, voyons !
_C’est toi
l’idiot. Tu aurais pu me prévenir que tu partais quand même !
Je lui tendis la
canette de coca qu’il prit avec un grand sourire., l’ouvrit et s’aspergea
entièrement de la substances brune. Je rigolais et il me rejoignit peu après
dans ma folie.
Nous parlâmes de
foot, de ses projets en attendant le bus prochain qui ne passerait que dans une
demi-heure. Je lui fis promettre que si je gagnais le championnat il sortirait
avec moi. Enfin tout du moins ce fut un oui sans oui, enfin il ne dit pas non.
Au moins je n’avais pas d’espoirs mal fondés puisque si je n’avais pas
intéressé le jeune homme il ne m’aurait même pas attendu.
Il me tendit le
coca et j’en bu sous ses yeux bienveillants, je le sentais ! Nous parlâmes
comme ça sérieusement tous les deux amis l’un à côté de l’autre sur la
rambarde qui bordait le front de mer.
Nous avions tous
fait notre come back dans l’équipe, et nous avions pulvérisé avec nos
nouvelles techniques les « 7 véritables joueurs du Japon ».
Nous avions même découvert
qu’ils étaient pour 5 d’entre eux des joueurs d’un an nos aînés donc il
était impossible qu ‘ils jouent avec nous. Quant à Hino et Urabe, et
bien Hino allait jouer en Uruguay et Urabe avait fait cela pour nous faire
avancer dans notre équipe. Belle confrontation Hyuga/Hino en perspective !
De ce fait, nous
avions été réintégré à l’équipe nationale junior et avions retrouver
toute cette force qui fait de nous l’équipe la plus motivée du championnat.
Jouer pour s’amuser se faire plaisir, tout ça dans l’amour du foot. Nous étions
les joueurs de l’espoirs pour le Japon, et nous comptions au mieux représenter
notre pays.
A notre équipe
Tamotsu vient s’ajouter. Son aide nous devint vite indispensable, un œil de
lynx externe pour nous critiquer et nous remettre en place n’était pas
surplus.
C’est ainsi que
nous nous envolâmes en direction du deuxième tour des éliminatoires en Indonésie.
Enfin j’allai
rejoindre mes coéquipier en Indonésie. J’en tremblais d’avance
d’affronter toutes ces équipes très puissantes avec mes coéquipiers et
amis.
Je les avais
rejoint couvert d’égratignures du à un entraînement sur le ponton de la
plage de Sao Polo (à préciser que du ponton il ne restait que les poteaux donc
plus de sol !!!!)
Soutenu par tous
nos supporters dont des têtes biens connues nous ne pouvions perdre face à
l’Ouzbékistan. Je fus confiant et assuré face à la prouesse d’Aoi qui
envoya vite fait le ballon au fond des filets adverses en peu de temps.
Oui…vraiment…j’étais
fière d’être né à la même époque que ces compagnons si merveilleux !
<<<<Hihi
désolé j’ai été longue à écrire mais c’est pas facile d’être dans
le lycée le plus réputé de sa ville (d’ailleurs ça me réussi pas^^ !!!!!!)
bouyou !!!!!!!!!!!!!!
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