Fanfics

A qui oserai-je le dire?

Auteur: Shima

 

Genre : sérieux mais vous me prenez pour qui ?!^^

Série concernée : bisounours nan je rigole Captain Tsubasa (Olive et Tom incultes)

Disclamer : Les personnages ne m’appartiennent toujours pas pourtant j’aimerai bien. Et puis j’aimerai bien des critiques bonnes ou mauvaises c’est le bienvenu parce que j’ai l’impression de pédaler dans la semoule snif !!!!!

Sur ce bonne lecture ! ^^

 

Chapitre 4 : Pourquoi tu as fuis ?

 

Amy

 

L’avion atterrit en douceur après 12h de voyage. C’était la première fois que je prenais l’avion de ma vie, c’était génial ! En plus j’étais avec Maïlys et Katia autant dire que c’était comique car Katia s ‘amusait à filmer tous les petits vieux japonais qui dormaient. Les pauvres étaient souvent réveillé puisque je trouvais toujours le moyen de faire tomber plein de choses par terre du coup je faisais du bruit pour les ramasser.

Nous débarquions sur le japonais et je connus une euphorie face au fait que j’étais au Japon avec mes amis en plus puisque en plus, nous étions avec les garçons et j’avais fait rapidement un lien avec vu qu’ils étaient tous d’une gentillesse admirable surtout quand je les embêtais.

Notre prof de karaté avait été choisit comme coach principal et nous suivais durant le stage d’entraînement, aussi avais-je formidablement progressé et j’avais à présent les tablettes de chocolat. En contrepartie, ma sœur elle, avait enflé de manière assez phénoménal et n’en pouvait plus, elle avait hâte d’accoucher d’ici 1mois.

Nous prîmes le car dans un vacarme assez convainquant malgré notre manque de sommeil dû à nos pitreries. Aussi, me retrouvais-je à côté d’Edwin, un jeune karatéka de mon age, c’est à dire 17ans. Il était grand, brun aux yeux bleus turquoises presque et surtout , il avait des mimiques adorable qui allait avec son physique avantageux et son charme.

Nous arrivâmes bien vite à l’hôtel. Par chance, nous étions trois par chambre aussi je me mis avec Maïlys et Katia. Nous nous installâmes dans nos chambres et commençions à chipoter la  place imparti à chacun dans l’armoire quant le coach Kishida entra.

_Jeunes filles s’il vous plait ne tardez pas on a une démonstration à faire au maire au dojo de wakado de ma famille.

_On connaîtra alors l’endroit où vous vous entraîniez . affirma Katia, ainsi nous serons plus fortes que vous niark.

_Arrête de rêver Katia, de plus, mon père sera là pour la critique qu’il a facile pour le karaté et aussi il y aura mes frères.

J’arrêtais de ranger mon linge, regardais Maïlys et celle-ci questionna :

_Il y aura-t-il Ken aussi ?

_Evidemment !

 

Hyuga

 

Je me dirigeais à toute vitesse dans la défense de Toho pour mon dernier entraînement avec eux avant mon départ faisant des remarques à tous ceux que je passais et j’atteins vite fais les buts de Wakashimazu. Je frappai un tir du tigre qui s’enfonça dans les filets. Wakashimazu n’avait pas réagit. Il se contentait de fixer le sol de manière distraite. Il ne remarqua même qu’il venait de se prendre un but et que Sawada venait de récupérer le ballon.

 

Je dis de bref aurevoir et bon courage à mes anciens partenaires après la douche . Tous avaient quitté les lieux et s’empressaient de rentrer chez eux car le temps menaçais de se détériorer. J’entendais encore des petits bruits dans le vestiaire. Je m’approchais, entrouvris la porte et constatai que Wakashimazu y était encore alors qu’il était déjà rhabillé. Il regardais une photo toute racorni dans sa main droite et son regard était indescriptible, comme perdu.

Je rentrais discrètement, vins m’asseoir à ses côtés attendant qu’il parle.

_C’est une de mes ex.

Il me tendis la photo et découvris une occidentale entre les bras de Wakashimazu qui souriait alors que lui prenait la photo à la barbare en tendant le bras. Cela me fis sourire puisque notre gardien n’avait jamais pris de photo de ses copines en encore moins il les concervait. Il a du hésité à la mettre à la poubelle vu qu’elle était un peu chiffonnée. De plus, sur la photo il avait l’air heureux, d’un bonheur que je ne lui ai jamais connu.

_Elle s ‘appelle Amy, elle est française. Je suis sorti avec elle l’an dernier en hiver pendant les vacances. Normalement, je la vois ce soir car elle va faire une démonstration de karaté à mon dojo vu qu’elle a été sélectionné dans l’équipe de France.

_Et c’est pas bien ?

_Je ne sais pas.

Je le questionnais du regard.

_Elle…D’un côté je suis contente de la voir et d’un autre j’ai envi de la rejeter, de léliminer de ma vie.

Je le questionnais alors :

_Il s’est passé quelque chose avec elle ?

Il semblait ancré dans une réflexion importante et déclara :

_en fait le problème ce n’est pas elle. C’est moi. Elle a réussi là où les autres filles n’ont pas réussi. Je me suis attaché. Mais je ne voulais pas, aussi, je l’avais dégoûté en embrassant exprès une fille qu’elle détestait devant elle, alors que je lui avais dit que j’attendrais le temps qu’il faudra car j’étais son premier copain et de surcroît sa sœur était enceinte, donc elle était méfiante.

Je me résumais alors :

_Donc tu t’es fait passé pour un monstre pour l’éloigner et maintenant tu regrette.

_Je ne sais pas c’est confus, je ne sais plus se que je veux.

Je réfléchis un temps soit peu et répondis :

_Je ne suis pas doué pour les affaires de cœur vu que je suis plus que inexpérimenté, mais à mon avis au lieu de trop te tracasser tu devrais te laisser porter par ce qui va se passer. Réfléchis moins fait à l’instinct, comme le tigre. Prends ce qui vient, et en te traumatise plus. J’espère t’avoir aider et si t’as d’autres problèmes parle m’en mais évite de faire la statue pendant l’entraînement, ok. ?

Il sourit et me répondis :

_Ok !Chef oui chef !

Nous rigolâmes ensembles et nous prîmes chacun le chemin de notre maison .

 

Maïlys

 

Amy semblait mal à l’aise, elle ne parlait pas ou peu et c’était pour dire l’heure. On était dans les vestiaires du dojo et si j’en jugeais au vacarme, la seule personne impressionnée était Amy.

_Allé les enfants c’est à vous !

A cette annonce Amy cassa le crayon qu’elle avait dans les mains. Son regard au lieu de furieux comme je l’aurai crû semblait plus perdu qu’autre chose.

Nous nous mîmes en rang, entrâmes dans le dojo et saluâmes nos spectateurs. Ken n’était pas là.  Nous commençâmes à nous échauffer et alors que Kishida demanda à Amy et Edwin de s’avancer pour un assaut, Ken entra, mais Amy ne le vis pas, heureusement. Il se tapit dans l’ombre dans un coin et observa. Pendant tout l’assaut je le détaillai et vis que dans son regard quelque chose clochait ; il était dur mais en même temps de temps à autre quant elle recevait des coups, il semblait inquiet juste l’instant de deux secondes. Il se tortillait les doigts et ne remarqua que je le fixait qu’à la fin de l’assaut. Je lui fis un signe de tête auquel il répondis. Ce fut mon tour de faire un assaut.

 

Ken

 

Elle s’était plus qu’amélioré, elle rivalisait même avec des garçons et en battait même. Je l’observais de loin, je me cachais je ne voulais pas la perturber. Ils finirent leur présentation s’inclinèrent et allèrent dans le vestiaire. Nous attendîmes 10 minutes le temps qu’ils se changent et enfin quant ils sortirent alors que j’allais enfin voir Amy et ses amies, mon père commença la critique de sa technique. Elle le prenait bien et souriait même. Je m’en voulais de vouloir la voir et la faire souffrir, aussi je disparu dans un couloir proche m’adossant au mur en écoutant sa voix mélodieuse qui parlait un japonais peu fiable. Je fermais les yeux et me contentais d’écouter.

_Tu pense pouvoir continuer longtemps à te mentir et à te cacher. Admirer de loin c’est un crime en amour.

J’ouvris les yeux et reconnus Maïlys. Elle me regardait simplement, jeta un œil à Amy qui venait de finir de parler et me dit.

_Je t’aide, saisis ta chance.

Elle ne me laissai pas le temps de dire quoi que se soit qu’elle partit voir Amy qui semblait la suivre dans ma direction. Je paniquais.

 

Amy :

 

Alors que Mr Wakashimazu venait de finir de me parler, Maïlys me demanda de l’accompagner aux toilettes. Se que je fis. Elle partit en trombe dans un couloir et je ne pus que constater son absence dans ce couloir noir, elle m’avait semé. Alors que j’allais m’en retourner.

_Amy !

Cette voix familière me fit retourner et confirmer se que je pensai. Je restais sans voix devant celui dont je redoutais la rencontre.

_Je…sais que quoi que je dise rien ne pourrait m’excuser ou me pardonner, mais se que j’ai fait, je l’ai fait pour te protéger ! Et puis tu sais , t’es une fille bien t’aurais perdu ton temps avec moi et…

_Pourquoi tu as fuis ?

Un silence lourd.

_Pourquoi tu m’as mentis ? Pourquoi tu te mens ? Pourquoi m’avoir fait croire qu’il pouvait il y avoir quelque chose alors que qu c’était pour mieux me délaisser ?

Un long silence lourd de sens s’ensuis.

_Tu as peut-être eut peur et moi aussi j’ai eu peur mais je ne t’en veux plus.

Je me retournais :

_Reviens me voir que lorsque tu seras moins lâche.

Je partis en le laissant derrière moi avec cette même larme que la mienne.

 

Voilà fini !!!!!!!!!!!! j’ai mis un mois à l’écrire à cause des bacs blancs et de ma mère (ça aide jamais ces choses là !!!)

Au prochain chapitre alors et joyeux noel !!!!!!!!!

 

Retour aux fanfics "A qui oserai-je le dire?"