Fanfics
A qui oserai-je le dire?
Genre :
sérieux
Série concernée :
Captain Tsubasa (Olive et Tom)
Auteur : Shima
Disclamer : Comme je tenais à rester fidèle
à l’histoire je vais garder tous les couples cités dans le manga, je vais développer
leur histoire dans le fond parce que je me doute que Takahashi n’est pas un spécialiste
des histoires d’amours^^. Aussi je souhaiterais savoir se que vous en pensez !
merci !
Bonne lecture !
Chapitre
3 : LES DESTINS CROISES.
Wakabayashi
J’arrêtais pour la unième fois un tir de
Schneider, ce match intense entre le Bayern et Hambourg était la rencontre à
ne pas manquer. La clameur qui s’élevait des gradins était invraisemblable,
quiconque n’était pas habitué serait ressorti affublé d’une tête grosse
comme une pastèque !Ce qui m’énervait le plus c’était les filles
dans les tribunes qui scandent le nom de leur préféré. Le pire c’est quant
c’est mon nom qui est cité, cela me met mal à l’aise. Une chose que j’ai
apprise en Europe, c’est que les filles ici sont plus libres qu’au Japon et
sont aussi moins raffinées dans leurs manières, ce n’est pas la même
culture ! Déjà, ici, les femmes travaillent après le mariage, ce qui
n’est pas le cas au Japon, puisqu’elles s’arrêtent après leur mariage,
à cause du surmenage que cela créé pour le ménage qui ne pourrait pas avoir
d’enfant en toute tranquillité car le travail oblige à un surmenage de
temps.
Aussi, je ne m’étonnais plus de me faire
aborder par toute sorte de jeunes filles plus osées les unes que les autres.
Mais je n’avais jamais été un chaud lapin et l’on ne me prêtait que peu
de conquête, se qui n’était pas faux puisque que ma copine actuelle était
la seule en date !
C’est un top-model allemand, une grande
blonde aux yeux bleus, avec de longues jambes. ^^
D’ailleurs voilà celles de Shô qui arrive,
il décoche un boulet de canon dévié par Schneider qui vient s’écraser sur
ma poitrine. Je gardais pour moi la douleur qui assaillait ma poitrine légèrement
meurtrie par la force de frappe combinée. Je relançais mon ami le ballon à
l’autre bout du terrain juste devant les buts, Kartz avait tranquillement
planté une tente là-bas et n’attendait que cela pour marquer, se qu’il fit
d’ailleurs !
2 à 2, décidément ces matchs n’en
finissaient guère. Alors que les clameurs qui s’élevaient du public
hambourgeois doublaient de volume, l’arbitre siffla la fin du match.
Schneider et ses coéquipiers vinrent échanger
avec mes coéquipiers et moi-même une tape amicale ou une poignée de main
reconnaissante.
Nous sortîmes du stade, lavés, nourris et
souriant de ce match bien mené lorsque
qu’une chose blonde me sauta dessus.
_Tu as été génial comme toujours !
Je souriais, elle savait que j’appréciais
énormément les compliments venant d’elle et elle ne manquait pas de flatter
mon altère égaux.
Je dis un bref au revoir à mes coéquipiers
qui me souhaitèrent avec un sourire malin une bonne soirée. Et si j’en
jugeais aux dessous de ma chère fiancée, je pense qu’ils avaient raison de
sourire, et je n’aillais pas les décevoir.
Tsubasa
Je réprimais un soupir, non décidément
j’avais hâte de retourner au Japon, hâte de voir une tête brune au sourire
timide près de moi. En ce moment j’avais des envies câlines autant dire que
mon amour me manquait, aussi cela déteignait sur mon comportement. Des fou
rires solitaires, un manque d’attention sur le terrain et surtout, des
absences fréquentes lors de conversations.
Aussi, quant Sanae vint peu avant le tournois
World Youth, ma joie éclata non pas sur le fait mais durant toute la soirée.
Je n’avais pas perdu un instant et nous n’avions que peu dormi. Il ne s’était
jamais rien passé de physique entre nous pour le moment et je n’en voulais guère
de peur de lui déplaire. Aussi je l’attendais avec une infinie patience.
Dans un mois j’irais un Japon et le temps me
pressait de revoir ma seconde moitié.
Que le temps semble long à ce moment !
Misaki :
J’avais reçu la lettre de convocation pour
le stage de préparation pour le World Youth. Hyuga m’avait même appelé afin
de régler certains détails de notre future équipe se qui ne manqua pas de me
faire sourire puisque même le grand Hyuga était excité comme une puce par le
tournois asiatique qui se profilait et encore mieux avec peut-être ensuite le
World Youth.
J’étais content et triste à la fois bien
que cela ne parvenait pas de la même chose. En France, j’étais tombé
amoureux d’une japonaise de mon école japonaise, nous avions gardé le
contact et elle venait juste de m’apprendre par lettre qu’elle avait trouvé
quelqu’un et m’avait sorti le charabia habituel du genre : « je
t’aime bien, j’aimerais que l’on reste ami … ». Cela fait un mois
de cela, je ne lui ait pas répondu. Les gars m’ont dit de l’oublier, mais
je n’y arrive pas. Décidément je les attire les mauvaises affaires de cœur
entre ma mère et elle !
Je secouais la tête afin d’en faire sortir
ces limbes de mauvaises pensées. Je ne devais pas par désespoir tomber dans un
précipice de mélancolie qui ne me vaudrait que du mal.
Aussi, je pris mon ami le ballon et alla me dégourdir
les jambes dans les rues de Fujizawa.
Matsuyama
Je me retournais, comme d’habitude Yoshiko
était sur le ban de touche en compagnie de Mashida qui admiraient la bague de
fiançailles que portait Yoshiko à la main gauche. Je jouais ma dernière
partie avec mes coéquipiers du club de Furano. Ils venaient de passer leurs épreuves
de fin d’année et avaient signés à des clubs différents. Aussi dès
l’obtention de mon diplôme avait-je mis le genou au sol et avait demandé
Yoshiko en mariage.
Nous avions prévu de nous marier quand
j’aurais obtenu une signature dans un club, puisque pour payer un mariage et
les frais que coûtent le ménage, il faudrait de l’argent. J’allais donc me
battre lors de cette World Youth pour elle, et pour notre vie future, je lui
dois bien cela ! Elle fut prise d’un fou rire quand je lui fis ma
demande, prétextant que jamais elle n’aurait crû voir le célèbrissime
capitaine de Furano se mettre à genou devant ses sentiments. C’est vrai que
je ne l’avais jamais fait, mais le jeu en vaut la chandelle. Elle est heureuse
et cela fait mon bonheur !
Sorimashi
Hyuga, le profil haut comme à son habitude
passa devant le groupe des pin-up de notre école sans un regard, c’était désolant !
Même Wakashimazu ne daigna donner qu’un vague regard vers le groupe ou plutôt
vers le mur qui affichait le championnat national à venir. Sawada et moi même
affichèrent notre plus beau sourire aux jolies demoiselles qui nous regardaient
avec intérêt.
Nous étions venus récupérer nos affaires
dans notre internat et avions décidés de faire un dernier tour dans notre école
fétiche : Toho. Sawada désespérait de notre départ puisque ayant un an
de moins que nous il lui restait encore une année à faire sous la bannière de
Toho !
Le désintérêt de notre capitaine pour les
filles n’était pas une grande nouvelle, il ne s’était jamais posé la
question quant à ses sentiments, cela ne l’intéressait pas puisque cela le déconcentrerait,
c’est une perte de temps, comme il dit si bien !
Ce qui m’étonne le plus c’est notre
gardien ! Lui si coureur de jupon au collège jusque son voyage chez son frère
en France. Là, il n’a plus été le même, il refusait toute proposition ou
alors cela ne durait que 1à2 semaines pas plus.
Sawada, lui ne se gênait pas et
comptabilisait presque autant de conquête que moi, c’est à dire beaucoup !
En ce moment, nous étions libres à toutes propositions même si nous nous
l’avouons, nous n’avions plus l’envie de petites histoires, du sérieux
bon dieu, ou je tue le chien ! Aussi, je renonçais avec regrets à mes
petites jeunettes qui étaient des proies faciles, trop même !
Une jeune fille au bout du couloir appela
Sawada avec force, celui-ci la remarqua et la rejoignit le sourire aux lèvres,
et à voir comment il l’embrasse, il n’a pas fait que faire du foot hier, lâcheur !
Misugi
J’étais allongé sur le lit à côté de
Yayoi. J’avais passé la plus belle nuit de ma vie ! Nous avions commencé
par un dîné aux chandelles dans un beau resto chic. Elle était habillée en
robe de soirée que je lui avais offerte le jour même en se promenant en ville.
Elle était ravissante ! Je l’avais demandée en mariage au dessert,
j’avais placé l’écrin sous sa serviette et j’avais observé avec malice
son expression quant elle avait pris la serviette afin d’essuyer sa bouche.
Elle avait fait des gros yeux m’avait interrogée du regard, avait ouvert l’écrin
avait porté la main à sa bouche, et me regardait les yeux larmoyant. Je m’étais
levé, mis un genou à terre et l’avais demandé en mariage.
Elle avait pleuré et tous son maquillage dégoulinait
sur ses joues, aussi nous piquâmes une crise de fou rire. Nous étions rentrés
tranquillement et elle m’avait invitée dans sa chambre. Je lui avait dit que
se n’était pas une obligation que je pouvais attendre, mais elle m’avait
dit qu’elle n’avait pas peur avec moi, et qu’elle me faisait confiance
plus que tout autre .
Autant vous dire que je ne l’ai pas déçu,
cela à duré toute la fin de la nuit. Inoubliable !
Je l’aimais, je l’aime et je l’aimerais
toujours et se ne sont pas des paroles en l’air, puisque depuis maintenant 8
ans nous étions inséparables, si l’on cherchait Misugi, on avait Aoba et
vice-versa. Jamais l’un sans l’autre, et j’espère que cela va continuer.
Ken
_Ken réveille-toi !
Je me réveillais dans le vague et constatais
après un temps de réflexion que ma mère était dans ma chambre.
_Maman qu’est ce que tu fais là ?
_Je suis encore dans ma maison ! Enfin
bref, ton frère va venir au Japon !
Cela finit de me réveiller, rien que par le
mot frère, non décidément elle me poursuivra toujours.
_Quant ?
_Ce soir, il sera avec des élèves à lui à
l’hôtel au bout de la rue, il y a un championnat international de karaté, et
certains de ses élèves sont sélectionnés, des juniors. Aussi a-t-il été sélectionné
par l’équipe de France afin de coacher les jeunes. C’est génial non ?
_Si tu le dis !
Je fis tilt, des élèves à mon frère…Pourvu
qu’elle ne soit d’entre eux !Se serait pire que tout ! Et avec le
bol que je me paie, elle sera avec ses deux copines, putain !
_Il va passer demain avec ses élèves pour
nous faire une démonstration dans le dojo et pour les entraîner !Cela va
être passionnant tu ne trouve pas ?
Je restais perplexe devant cette information,
et je voyais déjà une longue journée et une longue nuit se profiler face à
l’angoisse de la revoir. La poisse !
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