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A qui oserai-je le dire?

Genre :sérieux

Série concernée : Captain Tsubasa (olive et tom pour les incultes)

Auteur : Shima

Disclamer : Salut ! J’avais une petite idée d‘histoire mais je n’osais pas me lancer, puis après mûre réflexion je me suis dit pourquoi pas ? Alors j’espère que se ne sera pas trop cucu et que cela plaira. S’il vous plait tapez pas et dites-moi ce que vous en pensez, merci. Parce qu’on dit toujours que la première fois c’est plus dur !

Bonne lecture

 

Chapitre 1 : TOUT D’ABORD, COMMENT NOUS SOMMES-NOUS

Vus.

 

    « Cela pourrait être de la chance ou pour certain du malheur. La vie des fois apporte des choses impensables qui bouleverse votre petit monde. Et pourtant ! Ce n’est ni bon ni mauvais, puisque de toute manière ce qui est fait est fait, et si vous êtes tombés très bas vous ne pouvez que remonter ! »

Je relisais mon journal avec attention afin de ne rien perdre de mes sentiments. Se que je pouvais être grave ! On se croirait dans un scénario mélo-dramatique neuneu ! Bof après tout ! Pourquoi pas ! Cela me faisait du bien d’écrire dans ce journal. C’était un petit truc culte qu’on avait instauré moi et mes amies. Dès que cela allait mal on écrivait et si on voulait, on le montrait aux autres ! Rien de bien original, mais nous pensions que cela faisait avancer la personne et qu’en nous relisant nous pouvions éviter de refaire les mêmes erreurs. Et cela pouvait marcher comme cela pouvait facilement passer au-dessus de notre tête.

Il vaut mieux espérer que ne rien penser, aller de l’avant car ce qui est derrière ne changera pas et influencera le futur.

23h47, il vaudrait mieux que je dorme si je ne veux pas avoir l’air d’une patate grillée mal épongée. J’éteignais la lampe de chevet, fermais les yeux, mais je mis du temps à m’endormir. Juste avant de sombrer dans les bras de Morphée, je repensais à ma sœur tombée enceinte trop tôt puisqu’elle était ma jumelle et avait tout comme moi 16 ans. Kitana et Amy les deux jumelles.

 

Kitana

Je me réveillais les yeux clos, les membres ankylosés par trop d’heures de sommeil. Je me levais avec le peu de force d’un vieillard non vraiment cet état ne m’allait guère. Et pourtant… J’ai fait l’idiote, j’en paie le prix. Mes parents refusent mon avortement et étant une enfant assez soumise à l’autorité parentale, j’ai laissé faire et maintenant c’est trop tard ; le quatrième mois est entamé. Des bouffées de chaleur me font transpirer de partout, me poussant vers une douche bien froide. Je me déshabille et admire dans la glace le magnifique début de ventre que j’ai.

J’avais les boules, le père avait prit la poudre d’escampette dès qu’il a sut. Ce que j’ai put être stupide !

 

 

 

Amy

_Kitana grouille-toi on va être en retard !

c’est pas possible elle choisit bien le moment, on a contrôle de mathématiques dès la première heure.

_J’arrive !

Se joignant à son geste, elle descend des escalier avec la grâce qui caractérise un éléphant et se plante devant moi habillée, chaussée et maquillée.

_Tout de même, aller on y va ! Au revoir maman, salut papa.

Je laissais le soin à Kitana de fermer la porte qui manqua de faire écrouler la maison, alors que je me mettais à courir d’une course effreinée puisque la cloche allait sonner d’ici deux minutes et nous avions 5 minutes de marche habituellement. Kitana me suivait avec un train de retard mais nous arrivâmes tout de même à l’heure.

Nous dîmes au passage bonjour à Katia et à Maïlys qui étaient de notre groupe les seules qui étaient avec nous en mathématiques. Juste le temps de sortir une copie que les choses sérieuses commencent, et c’est parti !

 

Katia :

Je sortais la dernière de la salle de maths, j’étais resté bloqué sur un exercice et j’avais pris plus de temps que les autres qui étaient sortis depuis minimum 5 minutes. Je me rendais donc dans la cour de récré et réjoignis ma petite gang. Kitana semblait contente d’elle, mais le sujet dériva vite sur Kitana et sa grossesse ! Tamara et Mélinda était sous le charme de la maternité de Kitana. Il faut bien avouer que Kitana est très jolie et le père de son enfant aussi. Kitana est une belle brune aux yeux bleu-vert,  avec une frange au dessus des yeux, et un minois à faire jalouser toutes les filles. De plus, elle est de taille moyenne et est fine et élancée, bien que là la grossesse va tout changer. Je regarde Maïlys qui arbore plutôt la question par rapport au futur. Elle est toujours très ancré dans la réalité celle là. Elle est tout le contraire de Kitana point de vue mental assez réservée, calme , posée, réfléchie. c‘est une fille ni-belle ni-moche, mais qui a son petit charme est petite, brune, yeux marrons et est plutôt fine. Tamama est une fille aux cheveux courts châtains avec des mèches rouges et est plutôt électrique comme fille, c’est un tempérament fort et rebelle. Elle est plutôt petite, a des yeux marrons et est toujours maquillée à l’excès, se qui lui donne un facies spécial ! Sans maquillage c’est une fille banale sans originalité .

Mélinda est la petite fille nature émue par tout, et déconne comme pas deux. C’est la gentillesse même ! Elle est blonde aux yeux bleus, de petite taille avec les cheveux en cascade autours de son fin visage.

Et enfin Amy . Amy, c’est tout un rôle. Avec sa sœur jumelle dans les parages, elle est enjouée, survoltée et est le poumon du groupe avec Kitana. Sans sa sœur c’est une boule de tendresse ! Elle ressemble en tout point à sa sœur à part les mèches qui encadrent son visage et des yeux bleu-gris.

Et moi et bien, je suis blonde cendrée longs, yeux bleus habillée en jean et en pull tout le temps, je suis un peu garçon manqué mais j’aime bien ne pas à avoir à me prendre la tête avec les fringues !Cependant je ne suis pas une clocharde !Moi, je me trouve banale et passe partout !Donc tant mieux, car la simplicité c’est mon fort !

Zut la cloche sonne, il va falloir retourner en cours. Je fais un bref salut aux autres et me dirige avec Amy en SVT.

 

 

 

Amy

Je sortis de cette longue journée bien contente d’avoir fini. Vivement les vacances ! Kitana et moi rentrions à la maison en marchant quand juste devant la maison celle-ci craqua. C’était la première fois que je la vis comme cela. Elle s’était avachie dans mes bras et se vidait complètement, je me doutais se qui la rendait comme cela et j’anticipais son mal en la serrant fort dans mes bras pour la consoler. Ses pleurs durèrent quelques minutes, puis elle se calme doucement et juste à ce moment là je lui dis avec douceur :

_Papa peut dire se qu’il veut, il a beau te blâmer, tu as peur c’est normal ; aussi je serais avec toi à tes côtés jusqu’au bout. D’accord ?

Je relevais son menton pour qu’elle me regarde droit dans les yeux et lui redis :

_D’accord ?

Elle me fit signe que oui, se leva et rentra à la maison. Je la regardais rentrer avec la tendresse d’une grande sœur .Dès qu’elle fut rentrée, je m’assis sur le trottoir, fixant le manoir en haut de la rue. Cela faisait bien 3 mois que des japonais avaient emménagés là. Ils avaient même ouvert un dojo où ils enseignaient le wakado je crois. J’y étais inscrite depuis que c’était ouverte et avais sympathisé avec le propriétaire qui était un jeune karatéka d’une vingtaine d’années appelé Wakashimazu Kishida. A bien regarder je voyais à la fenêtre quelqu’un me regarder ce n’était pas Kishida puisqu’il donnait cours aux plus jeunes et se n’était pas non plus la silhouette d’une femme. Bof, peu importe.

Je me relevais et rentrais à la maison réconforter ma sœur .

 

 

 

DRING !!!!!!     DRING !!!!!!

_Allo !

_Bonjour mon fils. Tu ne t’ennuis pas trop en France ?

_Papa j’viens d’arriver !

_Oui, bon ! Comment trouve-tu la ville ?

_Elle ressemble à une ville.

_Il fait beau ?

_Attends je regarde !

Du revers de la main je poussais le rideau et constatait que le ciel bleu commençait à devenir des plus nuageux.

_Pour l’instant ça va mais je sens que ça va changer, le vent tourne.

J’observais les alentours et deux filles enlacées attirèrent mon attention. Je constatais que l’une d’elle pleurait.

Mon père continuait à parler et je ne répondais que machinalement à ses questions toutes plus débiles les unes que les autres. La fille qui pleurait rentra chez elle et l’autre s’assit sur le trottoir et regarda bien vite dans ma direction. Apparemment, elle m’avait remarqué puisqu’elle scrutait du regard la maison ou plus exactement la fenêtre. Elle se leva et partit en direction de sa maison.

_Ken réponds. Allo, KEN !!!!!!!!

_Oui !

_Tu me ferais peur imbécile !

_C’est pas de ma faute je tiens de mon père !

_Très drôle je rappel dans une semaine, bonnes vacances mon fils !

_merci toi aussi !

J’éteignais le téléphone et fixais l’endroit où se trouvait la jeune fille quelques instants auparavant. Elle avait l’air perdue et en même temps elle paraissait fiable quant à l’autre fille qui à en juger par la ressemblance plus que troublante, devait être à ne pas s’y tromper sa jumelle. C’est quant même original d’avoir un jumeau, un être identique en tout point.

_KEN A TABLE !

_J ARRIVE!

Je regardais une derrière fois par la fenêtre et partis à toute vitesse vers le rez de chaussé avec la vive conviction que j’allais bien manger.

 

 

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