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Un tournoi bien mouvementé
Auteur:
Maryam
VIII :
Révélation
Après cette victoire les joueurs
japonais avaient le droit à une journée de repos à Paris (pour visiter
la ville etc.) avant de retourner au Japon (pour l’entraînement pour la
coupe continental) ou dans leur club pro.
[France, Paris, Parc de l’ Hôtel
Matin]
Genzô et Naoko
se promenaient dans le parc :
-
J’ai gagné notre pari ! Dit
Wakabayashi fièrement.
-
C’est pas juste, tu n’as joué
qu’une mi-temps !
-
Mais, c’était contre le Brésil.
-
Tiens tes 50€ !
-
Merci, mais c’est pas ça qui m’intéressais
c’est que j’ai gagné mon pari !! Et le tournoi !
-
T’es la honte du Japon !
-
Quoi ! Tous le monde me respecte
comme un dieu sauf toi !!
-
Puff !
-
Tu sais t’es chiante comme fille, la
plus chia…
Mais tout à
coup un petit objet de la jeune fille tomba, et elle le ramassa et elle
s’assit sur un banc avec un air de nostalgie venant de l’objet. Genzô
s’assit à côté de Naoko et regarda l’objet qu’admirait Naoko.
C’était une
pin’s en forme d’ours en or (certainement du faux or).
-
Oh le bébé regarde le petit ours !!
Dit pour
plaisanter Wakabayashi, mais tout à coup…
-
Je ne suis pas un enfant pourri comme
toi, Genzô !!
-
Hein !!
C’était
juste pour la taquiner mais c’est comme si ça l’avait blessé, mais
pourquoi. En + comment pouvait elle lui parler sur ce ton et elle l’avait
appelé Genzô et très peu de gens l’appelait comme cela, même pas Tsubasa.
-
Qu’est-ce que tu as.
Dit Wakabayashi
gentiment (de parler gentiment était très rare chez Wakabayashi) (il a le même
ton quand Patty part car Olivier lui a dit un truc dans ce genre « Tes
sandwich sont bon, le gars qui t’aura fera l’affaire du siècle » et
après Olivier se dit : « Bah qu’est-ce que j’ai fait ? »)
-
Ça ne te regardes de pas !!
Naoko serra son
pin’s plus fort et éclata soudain en colère :
-
Ce pin’s m’a … m’a été offert
par mes parents et…
Genzô commença
à l’écouter intéressé.
-
C’est la dernière chose qui me reste
d’eux…
-
Hein !
Genzô ne
s’avait pas que ses parents étaient morts.
-
… Il me l’avait offert pour mon
anniversaire et après nous avions décidé de fêter mes 17 ans dans un
restaurant mais en allant au restaurant, nous avons eu un accident de voiture et
… mes parents sont mort, je me suis sortit je ne sais pas comment. Maintenant
mes anniversaires ne seront plus comme avant ; me dire que c’est aussi le
jour de la mort de mes parent c’est… C’est pour ça que je tiens à cette
objet c’est le dernier cadeau d’anniversaire que j’aurai d’eux !!...
je sais c’est bête !!
Pourquoi, je le
dit tout ça : mon secret le plus cher, il s’en moque !!
-
Non, ce n’est pas bête du tout !
Dit Genzô avec
un air de désolée !!
Hein !
Cela avait étonné
Naoko elle qui le croyait égoïste, il y avait peut être cœur sous son corps.
Peu importe elle s’entait qu’elle pouvait tout lui dire et que ses secrets
seraient protégé alors elle continua :
-
C’est ma grand-mère qui s’occupe de
moi maintenant ! Mais elle est gravement malade et les médicament pour sa
maladie sont payant… Le handball qui était ma seul passion n’est plus
qu’un moyen pour accéder au monde pro et gagner de l’argent pour ma grand-mère,
ce n’est plus un plaisir qu’on joue entre copines !!...
Soudain Genzô
se posa derrière le banc de Naoko et la pris dans ses bras :
- Ne t’inquiètes
pas, je suis là.
C’était la
première fois que leurs gestes et pensées étaient en cohésion, c’était
peut être la fin de cette guerre.
Mais Genzô
enleva vite cette étreinte et parti pour avoir une communication avec son
portable.
-
Genzô qu’es-ce que tu fais ?
(Maintenant Naoko l’appelait Genzô)
-
Rien.
-
Allo Mr Spaina ?
- ...
[Gare de Lyon
Après-midi]
-
Bon !Au revoir Genzô !!
-
C’est bien pour toi !!
-
Oui, d’aller à Madrid voir ce Mr
Spaina pour essayer que j’ai un contrat pro.
-
En + tu pourras soigner ta grand-mère.
Et redécouvrir le plaisir du handball.
-
Oui. Je n’ai pas réussis en Allemagne
qui est grand pays de hand mais je vais réussir en Espagne lui aussi un grand
pays de hand !!
-
Bonne chance !!
-
On se reverra ?
-
Oui, mais moi aussi je dois bientôt
partir pour Hambourg. J’aurai bien aimé qu’on soit dans le même club !
-
Moi aussi mais…
-
Tu m’auras appris beaucoup de choses.
-
Comme ?
Genzô et Naoko
en même temps :
-
AIMER !!
Ils se regardèrent
dans les yeux un long moment puis :
-
Bon !! je crois que je dois partir !!
-
Attends, tiens !
Genzô enleva
sa casquette avec le W et lui donna !
-
Mais c’est ta casquette !
-
Ce n’est qu’une casquette tiens
c’est pour te dire au revoir !
-
OK !
Naoko pris la
casquette et la mit sur sa tête pour ne plus s’en séparer. Là elle
ressemblait vraiment à Wakabayashi.
-
Alors, prends ça !
Elle lui montra
son fameux pin’s.
-
Je ne peux pas accepter c’est…
-
Je sais ce que c’est ! Mais il
faut que j’oublie et ça me fait plaisir de te l’offrir !!
-
D’accord !
Wakabayashi le
mit dans sa poche pour ne plus s’en séparer.
-
Au revoir ! (Genzô)
-
Toi même ! (Naoko) (comme dans le
chap. 3)
-
Hi !Hi ! (Tous les deux)
Alors qu’ils
allaient s’embrasser, ils se loupèrent et se serrèrent dans les bras. Comme
s’ils réservaient cet instant (1er baiser) pour quelque chose
d’important et que ce simple contact leur suffisait.
Et ils
repartirent plein de tristesse, mais ne pleurèrent pas décidément trop
orgueilleux.
[France, Forêt de Rueil Malmaison
fin de l’après midi]
L’équipe du
Japon été partit (au Japon) pour suivre un entraînement spécial pour la
coupe continental et Wakabayashi été parti à Hambourg pour retourné à son
club pro. Il ne restait plus que Tsubasa qui allait bientôt repartir au Brésil
pour encore jouer une finale contre Carlos Santana, mais il attendait Sanae qui
était toujours introuvable pourtant le club des supporters était déjà parti
sans elle. Peut être errait elle toujours dans la forêt.
Oh !
Tsubasa !
Et si tu crois
que c’est fini,
jamais,
c’est juste
une pause, un répis,
Après les
dangers.
Et si tu crois
que je t’oublie,
Ecoute,
Ouvre ton corps
au vent de la nuit,
Ferme les yeux,
et,
Sanae se
promenait toujours avec une seule pensé en tête : Tsubasa. Et elle
repensait :
-
Sanae !
-
Kenjï !
-
Oui. C’est pour te dire que je te
trouve très jolie et que j’aimerai bien sortir avec toi
… (Kenjï était tout rouge)
-
J’aime déjà quelqu’un d’autre !
-
Tsubasa ?
-
Oui.
Kenjï timide
et gentil, n’insista pas et comprit vite que son cœur était déjà pris.
Pensée de
Sanae a l’heure actuelle :
Kenjï est un
garçon gentil pourtant même mon cœur loin de toi je t’aimerai toujours
Tsubasa, Tsubasa, Tsubas…
Sanae tellement
plongea dans ses pensés glissa sur une racine et tomba dans une descente (Elle
doit vraiment penser à Tsubasa c’est impossible de se casser la figure dans
la forêt de Rueil.), oui Sanae qui était tellement dans ses pensées était
allée dans le coin le plus dangereux de la forêt. (Je ne crois pas qu’il y a
de coin dangereux dans la forêt de Rueil)
[France, Paris, un hôpital
salle d’attende toujours fin de l’après midi]
Tsubasa très
inquiet, attendait l’arrivé d’un docteur (il était seul a attendre tous
les autres était partis), soudain :
-
Docteur ! Qu’est-ce qu’elle a ?
-
Ne vous inquiétez pas, ce n’est rien
de grave, Melle Nakazawa s’est juste cassée la jambe.
-
Ouf, je peux aller la voir ?
-
Oui. Chambre 108, je suppose que vous êtes
son petit ami ?
-
… (Tsubasa était rouge comme une
tomate et courra vite vers la chambre de Sanae)
Chambre d’hôpital,
de Sanae :
-
Sanae ! (Tsubasa s’assit sur le
lit de Sanae d’hôpital, Sanae elle qui était assit dans son lit)
-
Tsubasa, qu’est-ce que tu fait là ?
-
J’était inquiet tu t’es cassé la
jambe ! Et en plus tu ne venais pas a mes matchs, j’ai même cru au début
qu’il t’était arrivé malheur. Je ne te voyais que pour manger et à l’hôtel.
-
Hein ! Il s’est aperçu que je
n’étais pas à ses match…
-
Tu sais ça était dur de gagner ce
tournoi sans tes encouragements
-
Ah bon !
-
Bien sûr, mais pourquoi tu n’es pas
venu à mes matchs, tu t’en fous ?
-
Non mais… Attends vous avez gagné ce
tournoi alors le tournoi est fini, Tsubas tu vas rater ton avion pour Sao Paulo
et tu ne pourra pas jouer la finale du Brésil contre Carlos Santana encore
et…
Tsubasa mis son
doigt tout tendrement sur les lèvres de Sanae.
-
Je sais, mais tu es plus importante
qu’une finale contre Santana !
-
Hein !
-
Je t’aime Sanae !
Tsubasa prit la
main de Sanae.
Elle laissa échapper
une petite larme : Tsubasa lui avait dit tous ce qu’elle rêvait
d’entendre, mais elle savait qu’à nouveau il fallait qu’elle se sépare
de lui. Tsubasa le remarqua et…
-
Ne t’inquiètes pas, nous nous
reverrons en coupe du monde que, je… nous gagnerons !
Maryam : ParisSaturneMoon@aol.com
( Le couplet c’est « Sous le vent, sinon c’est fini, j’espère que ça vous a plu et sinon
je ferais une autre fiction qui est la suite de celle la)
A SUIVRE)
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