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Un tournoi bien mouvementé

Auteur: Maryam

IV :Entraînement, de nouveaux sentiments

 

[France, Paris, centre d’entraînement]

 

Toute l’équipe du Japon s’entraînait dur pour gagner ce tournoi :

-           Coach Mikami, vu que l’entraînement est fini : je peux aller voir ma sœur qui s’inquiète !

-          D’accord Kenjï, mais je veux que tu sois accompagné d’un autre joueur au cas où tu aurais un problème.

-          Oui, Coach !

-          Misaki, tu veux bien accompagner Kenjї à la D.D.A.S.S. pour sa sœur ?

-          Mais, je dois faire des 1 – 2 avec Tsubasa.

Tarô bien trop gentil n’insista pas longtemps :

-          OK !

-          Bien ! répondit le coach satisfait . 

-          Tu viens c’est par là. Lui montra Miwasa . 

Ah ! J’ai de la chance d’avoir Tarô dans mon équipe : c’est un exemple de fair-play et de gentillesse. Toujours là quand on a besoin de lui ! Pensa Mikami en regardant les deux adolescents partir.

 

[France, Paris, D.D.A.S.S.]

 

-          Ah ! enfin arrivé !

-          C’est pas gai !

-          Oui, et quand je me dis que j’ai passé la moitié de ma vie ici !

-          Bonjour l’enfer !

-          Tu vois là bas c’est ma sœur ! Salut Aky !

-         

La jeune fille ne répondit pas, comme si elle était dans un autre monde .

Elle était sur un balançoire jaune comme le soleil, mais pourtant elle, elle était dans la nuit obscure. Misaki fut comme envoûté par la tristesse de ses yeux, tellement qu’il ne pouvait détacher son regard du sien. 

-          Hé ho, Aky-chan ! Je m’appelle Tarô Misaki :un copain de ton frère .

-          Misaki n’insiste pas, allez on y va !

-          Mais, pourquoi ?

-          Tu sais Aky est dépressive, un moindre petit geste et elle pourrait nous faire un malheur !

-          Ah bon ? Mais pourquoi reste t’elle sur cette balançoire ?

-          Nos parents sont morts dans un incendie lorsque qu’elle avait 4 ans et moi 5. Elle aimait quand maman la poussait quand elle était sur une balançoire. C’est pour ça qu’elle reste comme ça à attendre que notre mère la pousse, mais notre mère est morte et …

Misaki ! Qu’est-ce que tu fais ?

-          Maintenant ne t’inquiètes plus, je suis là Aky-chan !

Misaki la poussait sur cette balançoire avec toute la tendresse d’une mère. Mais c’était plus ce qui liait ces deux personnes.

Je me sens en paix, on dirait ma mère. Mais ce n’est pas elle, c’est un garçon que je ne connais même pas, alors pourquoi mon cœur bat si fort ?

 

C’est bizarre pourquoi, j’ai fait ça ? C’est comme si que j’avais besoin de protéger cette fille.

 

Les deux adolescents pensèrent en même, comme s’ils étaient synchronisés :

Qu’est-ce que ce sentiment de chaleur qui m’envahit ?

Bientôt Misaki ne la poussa plus, mais la serra juste dans ses bras, de derrière, mais cette fois pas comme une mère… Aky ne pleurait plus elle était en confiance et Tarô aussi .

Ce n’est pas possible Misaki la réconforte parfaitement, alors que moi qui suis son frère je n’y arrive même pas !

Oui, la jeune fille était réconfortée, mais elle savait que ce n’était pas sa mère, mais pourtant elle avait toujours ce sentiment de chaleur que ressentait aussi Misaki .

Ils restèrent dans cette position longtemps, longtemps ! 

Et pendant qu’un nouveau sentiment naissait entre Aky et Tarô …

 

[France, Paris, centre d’entraînement]

 

Le soir tombait sur Paris mais pourtant un prince était toujours avec son objet royal : le ballon !

-          Jun, arrête de t’entraîner, il est tard !

-          Non, je veux qu’on gagne ce tournoi !

-          Mais, si tu es fatigué comme tout : tu ne pourras jamais le gagner ! Alors, si tu ne veux pas t’arrêter, va donc faire une pause et boire l’eau toute fraîche que je viens de t’apporter ?

-          D’accord Yayoi !

Misugi s’assirent à coté de la fille pour boire sa bouteille d’eau, quand …

-          Aah !

-          Jun, ça va ? 

-          Yayoi !

-          Jun ! Réponds moi ?

-          Yayoi ! Aah ! Merci, pour toutes les fois où tu as été avec moi, Merci pour ta beauté et ta gaîté, tu as su être patiente avec moi qui ne pensais qu’au foot… tu t’es occupé de moi même quand tu devais travailler, ah, pardon de t’avoir ennuyé jusque là !

-          Mais tu ne m’as jamais ennuyer, Jun !

-          et encore merci pour tout !Aaaah !

-          Jun, non pas ça !

 

Misugi s’écroula évanouit dans les bras de la fille. Sans doute sa maladie cardiaque !

Yayoi qui allait faire  l’école des infirmières, savait quoi faire : un peu gênée elle lui fit la respiration artificielle et appela le SAMU qui vint aussitôt.

 

-          Allez, on l’emporte dans l’ambulance !

-          Je peux venir ! Snif !

-          Vous n’êtes pas de la famille ?

-          Snif !Non, mais je vous en prie !

Yayoi se mit à pleurer, quelques larmes. Et le docteur accepta .(Et ça marche les filles qui pleurent avec les docteurs)

La jeune fille monta dans l’ambulance en tenant la main de Jun qui recevait les tout 1er soin.

 

[France, Paris, hôpital : hôtel  dieu

le lendemain matin ]

 

Yayoi avait passé toute la nuit sur une chaise devant la chambre de Jun (les visites étaient interdites et l’accès de la chambre) quand elle fut rejointe par les autres joueurs de l’équipe du Japon.

-          Qu’est-ce qu’ils disent à propos de Jun ? Dirent les joueurs japonais tout secoués par la nouvelle.

-          Les docteurs ne savent toujours pas, il paraît que c’est une rechute. Répondit Yayoi en séchant ses larmes.

Yukari essaya de lui remonter le morale :

-          Ne t’inquiètes pas, je suis sûre qu’il va vite se remettre sur pied.

-          Oui, snif !

-          Bon ! Je sais que c’est dure de se remettre à l’entraînement après ce qui est arrivé à Jun, mais on doit gagner ce tournoi pour lui ! S’exclama Mikami.  

-          Oui, on le gagnera pour lui et le Japon ! Répondit Tsubasa.

L’équipe du Japon partit pour se remettre à l’entraînement encore + motivé pour gagner ce tournoi pour Misugi, et en laissant Yayoi avec Jun .

 

[France, Paris, Centre d’entraînement

l’après midi]

 

L’entraînement était un peu tendu après que Misugi soit allé à l’hôpital, mais tout le monde avait confiance pour le match contre l’Australie.

-          Je vais vous dire qui va jouer contre l’Australie !

-          Oui, coach.

Comme Genzô n’est pas là, au poste de gardien : Morisaki, défenseur :   Jitô, Ishizaki, Soda, Miwasa, milieu : Sawada …

-          Hein ! Mais, c’est normalement Matsuyama ! Répliquèrent tout les joueurs sauf Hikaru Matsuyama, qui était encore choqué de ce qui est arrivé à Jun et que Yoshiko ne soit pas là.

-          C’est comme ça ! Vous n’avez pas remarqué que Hikaru n’a touché aucun ballon dans le match : Japon/Afrique du Sud !

-          Mais… (Répliquèrent encore tout les joueurs sauf encore Hikaru)

Il furent interrompu par  Matsuyama :

-          Coach, vous avez raison. Vaut mieux que vous me faites remplacer par Sawada !

-          Quoi ! Tous furent surprit de la réaction de Matsuyama surtout Hyûga :

Matsuyama toi qui est tout le temps utile à l’équipe, toi, tu veux bien te faire remplacer et cela n’a rien avoir avec Jun !

-          Bon ! Où en étais-je ? Oui ! Autre milieu : Sano, Misaki, Tsubasa et enfin avants : Nitta et Hyûga.

-          Merci, Coach .  

Sawada même un peu gêné de remplacer Matsuyama était content.

Je dois être à la hauteur de Matsuyama,

Je doit avoir mon tir comme le tir de l’aigle de Matsuyama ou le néo tir du tigre du capitai…Hyûga …

 

[Même jour, même endroit

le soir]

 

-          Oh ! Qu’est-ce que tu fais ici Takeshi ?

-          Kumiko ! Pour  répondre à ta question : je m’entraîne .

-          A cette heure là !

-          Oui, et toi tu fais quoi ?

-          Je ramasse les ballon ! Normalement c’est Sanae-senpai qui le fait mais personne sait où elle est ! Tu veux que je te donne les ballons !

-          Oui !

-          Tu t’entraînes à faire quoi ?

-          Un nouveau tir !

Oh ! C’était un secret pourquoi je l’ai dit ! Il suffit que je sois seul avec une fille pour dire tout et n’importe quoi !  

-          Quand tu remplaces quelqu’un tu n’y vas pas de main morte ! C’est quoi ton nouveau tir ?

Il faut que je me taise, oui tais toi Takeshi !  

-         

Il ne répond pas ?

Kumi lui passa les ballons tandis qu’elle ne savait pas ce que Sawada faisait à tirer au but. Mais, elle aimait bien le regarder tirer au but : il avait tant de détermination comme Tsubasa.

Mais quand même Kumiko commençait à être fatiguée,alors tout d’un coup sans s’en apercevoir Sawada… :

-          Mon nouveau tir consiste a … Je ne pouvais vraiment pas me retenir de lui dire ! Avec ses beaux yeux malicieux : on ne peut pas lui mentir.

Takeshi était comme sous le charme.

-          Continu ta phrase !

-          … Oui… Il consiste ( Takeshi d’abord hésitant puis se lâcha et on ne pouvait plus l’arrêter) Je fais monter le ballon juste de quelques millimètres en dessous de la transversale et comme ça le gardien croit que le ballon va toucher la transversale, mais il entre pour quelques millimètres !

-          Super ! Et ce tir il s’appelle comment ?

Sawada réfléchit un moment :

-         

Voyons : Tir Kumiko !

Le jeune garçon se demanda pourquoi il avait eu cette pensée.

-          Je lui donnerai un nom quand je l’aurai réussis !

-          Oui…

Finalement Takeshi est gentil.

 J’ai bien fait d’oublier Tsubasa-senpai. (Et d’abord Sanae et ensuite Kumiko en ce moment Tsubasa n’a  plus de succès auprès des filles.)  

Après des heures d’entraînement pour Sawada avec le soutien de Kumiko :

Cette fois se sera la bonne ! Pour moi et toute l’équipe !

Sawada recula du ballon et arma son tir .Le ballon poursuivit une course en hauteur et en direction des cages

-          Allez, petit ballon entre dans les filets ! Pria Sawada.

Et pouf ! Le ballon était rentrer dans les filets  comme voulait Takeshi. Et cette fois si il ne se heurta pas sur la transversale comme toute les autres tentatives.

-          Oui ! C’est rentrée ! T’as vu ça Kumiko !

-          Oui, c’est Méga cool pour toi et l’équipe .

-          Oui !

Leurs conversations étaient un peu hésitante, cela leur faisait quelque chose qu’ils ne connaissaient pas de parler ensemble.

-          Je suppose que tu n’as pas manger. Tiens j’ai un peu de chocolat.

-          Merci !

Les deux adolescents partagèrent le chocolat assis côte à côte, devant un magnifique couché de soleil quand …

-          Oh regarde ce beau oiseau !

-          Oui, il est magnifique !

Pendant que Takeshi et Kumi étaient en train de regarder l’oiseau traversant le soleil couchant, ils se regardèrent droit dans les yeux : chacun était dans les yeux de l’autre. Et cela donna une idée à Takeshi :

-          Oui, c’est ça mon tir va s’appeler le « tir oiseau » !

-          Super ! Bon il vaut que j’y aille !

En partant Kumiko tomba sur un ballon de foot.

Alors que Takeshi allait la rejoindre pour l’aider à se relever : il tomba lui aussi sur un ballon de foot .

Il tomba sur elle, malgré qu’ils étaient gênés, cette position bizarrement ne les dérangeaient pas tant que ça, mais ils repartirent quand même tout rouge.

Mais des yeux noir, des yeux de félins les avaient vu. 

 

[France, Paris, Hôtel, chambre

 de Hyûga et de Sawada]

 

-          Bonjour, Takeshi. Tu rentres tard !

-          Oui Capitai…Kojirô-senpai !

-          Tu sais les fille ça ne sert strictement à rien !

-          Pourquoi, tu me dis ça ?

-          C’est juste que je t’ai vu avec Kumi-chan !

-          Il n’y a rien du tout entre nous ! Dit Sawada tout rouge, il avait commencer à être tout rouge dès que Kojirô avait prononcé le nom de Kumiko !

-          Tu fais ce que tu veux mais je te dis juste que ça ne sert à rien les filles surtout Kumiko ! Moi, je suis un tigre et les Tigres n’ont pas besoin de filles (oui, mais de tigresse). En tout cas ton histoire me fait rire : Hi !Hi !

Des nouveaux sentiment étaient venu entre Tarô et Aky, Jun et Yayoi et enfin Takeshi et Kumiko, ce même sentiment entre Sawada et Kumi-chan faisait qui rire quelqu’un ! 

Maryam  :ParisSaturneMoon@aol.com     

 

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