Fanfics

Le champs des rêves

Auteurs originiaux : Saki et Aya

Traductrice de l’italien en français : Kari

XXIX :Rancune

[ fin de l’entraînement, avant les vacances ]

- Les garçons, je sais que c’ets dur, mais il vous faut faire des exercices massacrants et crevant avant de prendre congès !
Les garçons hurlèrent :
- Oui coach !
- Aujourd'hui, vous formerez des équipes autour de Pierre et de Napoléon.

Les garçons organisèrent les deux équipes, Tarô jouait avec Napoléon, contre Pierre. Sur le papier le couple semblait invincible mais Pierre ne semblait pas montrer la moindre trace d’angoisse ou de préoccupation. L'une en face de l'autre dans le rond central les deux équipes se dévisagaient, comme si elles voulaient mesurer la force adverse. Avec un sourire curel, pierre se tourna vers Tarô.

- Je crois que le pauvre Japonais ne touchera pas la balle.
Malgré les paroles de Pierre la possession de balle passa rapidement à l'équipe blanche, celle de Napoléon et Tarô. Ces-derniers, avec des échanges rapides construisaient une action offensive rapide, mais Pierre n'avait pas la moindre intention de rester là à les regarder. Il ne jouait pas contre ses équipiers, mais comme si une place en coupe du monde verrait le jour après ce match.
La tension était inexplicablement tendue, mais le jeu était corrigé. Le coach sur le banc était orgueilleux :
- Mais regardez bon sang votre défense ! Elle est aussi transpercée que de la dentelle ! Vous dévisagez Napoléon et Tarô ou vous les arrêter ? !

 

[ classe de danse ]


- Très bien aujourd'hui nous ne ferons rien pour le spectacle mais une petite leçon et ensuite surprise... nous choisirons et prendrons les mesures des costumes !
- Oui !! hurlèrent en choeur les filles
- Génial – dit d’un ton ironique et amusé André, puis, il continua à voix basse dans l'oreille de Nicolas- Peut-être de qu’on verra de jolies jambes sortir des collants !

- André ! De toute façons, même les danseurs ont des collants !
- Ah, ah mais tu es plus fort que moi !ria-t-il.
- Si seulement tu t'engageais plu, tu te surclasserai en quelques secondes!
- Comme tu y vas !
- Allez les garçon ! Ne vous endormez pas et faites votre exercice ! hurla Sébastien, près du piano.

[football ]

- Mais quelle partie ! Ne jouerons-nous jamais comme titulaires ? s’inquiètèrent les remplaçants, sur le banc de touche.
Derrière le grillage, les habituels curieux regardaient la partie, pendant que les filles criaient des phrases assez osées à leurs chouchous, faisaient rougir les garçons autour !

Lorsque la partie approchait de la fin, il y avait encore zéro à zéro. Cependant, il arriva quelque chose dont personne ne se serait attendu, mais qui était compréhensible pour ceux qui avait entendu la phrase de Pierre avant début du match. Napoléon courait rapidement vers es buts après avoir dribblé deux défenseurs, il avait fait une passe très longue pour Tarô qui était poursuivit lorsque, après un signe entendu avec Pierre, Jean intervint, jambe tendue sur le pauvre Tarô.

Le garçon fut frappé à la jambe droite par les crampons de Jean qui y était allé avec ses 92 kilos sur lui.

Tarô fut projeté en avant et roula pour quelques mètres avant de rester à terre, serrant sa jambe blessée en hurlant de douleur.
Sur les estrades, les spectateurs huaient ! Le fan de Tarô bouleversées et maudissaient Jean avec des expressions vulgaires et des injures.
L'entraîneur était accouru sur le terrain, emmenant avec lui la trousse des premiers secours !
- Napoléon tu cours appeler le médecin de l'école.
De la blessure sortait beaucoup de sang :
- Il faudra des points de souture, espérons que l'os ne soit pas cassé car la blessure est assea profonde, on voit le tibia !
Tarô n’arrivait pas à retenir des cris de douleur quand on le déposa sur une civière.
- Vite vite – hurla l'entraîneur - qu'est-ce que fait Napoléon ? Le docteur !
- Mieux vaut appeler une ambulance!
- Tu cours Pierre va appeler l'ambulance !
Je crois qu'après cette belle aventure Tarô ne se mettra plus en travers de mon chemin!

[ classe de danse ]

- Alors Laure, comment trouves-tu ces costumes ?
- Oh , ils sont superbes !
- Après tu vas de Sophie qui te prennent les mesures.
Le début de l’après-midi, dans la classe de danse dut interrompu par l'arrivée de l'ambulance, tous les adolescents se pressèrent aux fenêtres pour voir ce qui s'était passé.
- Mais on a senti mal quelqu'un ?
- Peut-être que c’est le prof Howens qui est tombé dans les escaliers!
- André comme tu es mauvais, Howens n’est pas méchant - reprocha Nicolas
- Justement, il est tellement vieux qui mon nonno si d'ell'il se rappelle même !
- Non! Tregardez ! Ils utilisent un brancard et se dirigent vers le terrain de football !
- Peut-être qu’une des pom-pom girlm a avalé son ponpon ?
- Ou que Pierre a foncé dans le poteau des buts ?
- Arrêtez ces méchancetés et revenez faire vos exercices – résona du fond de la pièce la voix de Ludmilla.
- André tu vas voir ce qui s’est passé et tu nous le rapportes !
- Alors mademoiselle a le cœur pris – chuchota-t-il dans l'oreille à Laure qui éclata à rire.
- Non, je suis seulement curieuse, comme vous tous -  répondit la jeune fille.


 Les arbres dépouillés étaient remplis de milles lumières, les jouets dans les vitrines des grands magasins avaient pris de la vie par la joie des enfants, les gens était affairés dans leur course aux cadeaux, affluant sur les voies de la capitale, préparant la grande fête qui arrivait.
La cour de l'école était déserte : les vacances de Noël venaient de commencer.

* * *

Tarô,  pensif regardait le ciel gris de la fenêtre de sa chambre, il était encore au lit après son accident. Même s’il n’y avait rien de grave, le garçon était dégoûté.

- La blessure n’est pas grave monsieur Misaki - avait dit le docteur à l'hôpital - la perte de connaissance a été causée par la douleur, la traumatisme crânien est léger, nous tiendrons Tarô deux jours en observation, ne vous préoccupez pas.

Mais depuis la journée où il avait été consigné, Tarô n’avait pas quitté son lit, il n'éprouvait pas le besoin de se promener ballon au pied, son regard vide se posa sur une photo, lui, à Nankatsu avec ses vieux copains. Pourtant, même avec cette photo, avec un livre ouvert devant lui qui ne semblait pas l’intéresser, son esprit était toujours avec Pierre, dans les vestiaires, où il lui avait lancé des paroles de défi…les faits qui le menaient à l‘hôpital avaient suivit.

Tout à coup un étrange bruit sur les vitres sortit Tarô de ses pensées, une voix de l'extérieur l'appelait, une voix que son esprit avait du mal à identifier, mais qui lui était familière.

- Eh Misaki, tu es encore vivant ? Ouvre moi, c’est Laure !

Tarô mit du temps avant de distinguer la figure sui lui souriait derrière la vitre, sous la buée. Il se demandait comment elle avait bien pus arriver là vu que deux grands grillages séparaient leurs deux cours.

- Je tiens à te préciser que dehors on gèle ! Est-ce que tu arrieverai à ouvrir?
Tarô s'appuya avec la seule force de ses bras sur la balustrade du lit et avec une fatigue infinie, se souleva légèrement et allongea le bras pour ouvrir la fenêtre.
Laure avec une grande agilité sauta la barrière du balcon et entra dans la chambre du garçon.
Tarô la regardait sans ouvrir la bouche comme si la fille n'existait pas. Laure le fixait incertaine, peut-être que ça n’avait pas été une bonne idée d'aller le trouver, elle essaya de casser l'atmosphère:
- Alors Misaki as-tu décider de prendre ta retraite ? Tu ressembles à un vieux malade. Te faut-il tant de force et de courage pour que tu sorte du lit ?

Le garçon la regardait sans répondre au fond ce n’est pas de sa faute, je ne pense pas qu’elle conçoit se qui se passe avec Pierre...

- Comme as-tu fait pour entrer dans ma cour ? Mince, c’est quoi cette phrase que j’ai trouver ?
- C’est un secret qui date de quand j’étais petite. J’avais fait tomber une balle de l’autre côté et la vielle mégère qui était concierge à cette époque là ne voulait pas me la rendre, j’ai donc du limer une barre du grillage pour entrer ! Rusée, non ?
- Limer une barre?... Tu n’y vas pas par quatre chemins !
- Et oui !

La conversation s'était interrompue et demeurait indécise :

- Mais Tarô, quest-ce qui s’est passé cet après-midi ?
- Je ne veux pas tellement en parler, ce sont des choses qui arrivent sur le terrain, non?
- Oui mais ce sport est-il si violent ? Non, tu sais qu’à l’école il y a des versions assez différentes les unes des autres "Tarô allait gagner et jean dans l’action défensive s’est vengé" "Tarô a fait semblant pour les hurlements et l'évanouissement car il avait peur d’aller sur le banc de touche et ne voulait pas perdre la face" celle-ci est une version de la bande Pierre & Compagnie. Maisje ne la croie pas, tout le monde dit que tu es un garçon consciencieux, loyal qui n'offenserait jamais personne.

-         Merci pour ta confiance, mais je peux te demander quelque chose ? Maintenant va dans la cuisine et offre toi un chocolat chaud pour me pardonner de t’avoir laisser dans le froid terrible de l’hiver !
- Merci mais réussirais-tu à marcher un peu?
- Oui, passes-moi mes béquilles, nous verrons bien si c’est pour ne pas perdre la face !
-Alors allons nous promener, je t’aiderai !

 

 

P’tit mot : J’ai eu du mal à me remettre à la traduction de cette fic, mais c’est fait !^^J’ai du changer quelques passages car ce n’était vraiment pas compréhensible !^^ ;;

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